Vite, ces expos se terminent bientôt !
Sélection
Mise à jour le 29/04/2025

Sommaire
On ne tarde pas : ces expositions se préparent à tirer leur révérence d’ici quelques semaines. Alors, on fonce admirer ces événements culturels incontournables entre art, histoire et expériences immersives.
Cette sélection d’expos est actualisée une fois par mois. N’hésitez pas à l’ajouter à vos favoris pour la consulter régulièrement !
MEP, icônes and rock’n’roll
Avis aux amateurs de photographie et de musique : la rétrospective consacrée à Dennis Morris est sur le point de tirer sa révérence. Alors, cap à la Maison européenne de la photographie (Paris Centre) pour découvrir le travail de l’artiste britannique, connu pour avoir immortalisé les personnalités les plus influentes de la musique du XXe siècle. De Bob Marley aux Sex Pistols, la scénographie nous fait (re)vivre l’effervescence des années 1960-1970, à travers des clichés aussi puissants qu’intimistes, où les idoles de toute une génération se montrent sans fard ni artifice.
Coup de cœur pour l’expo « Music + Life », de Dennis Morris, à la MEP
Maison Européenne de la Photographie - 5 rue de fourcy , Paris 4e
Du mercredi 05 février 2025 au dimanche 18 mai 2025

Humaniser l’inhumain
Un symbole de désir de paix. Une jeune fille américaine tient une marguerite face aux armes de militaires : ce cliché mondialement connu, shooté en octobre 1967 devant le Pentagone (Washington), on le doit au photographe Marc Riboud. Bouleversé par la guerre du Vietnam, il s’y est rendu près d’une dizaine de fois entre 1966 et 1976 pour montrer un autre visage du conflit. À l’occasion des 50 ans de la guerre, le musée Guimet (6e) lui rend hommage en exposant son travail qui, au-delà de documenter les combats, s’est surtout attaché à les humaniser.
Marc Riboud. Photographies du Vietnam 1966-1976
Musée Guimet - 6, place d'Iéna, Paris 16e
Du mercredi 05 mars 2025 au lundi 12 mai 2025

Feu de joie
Et si on apprenait à faire flamboyer notre joie pour faire front aux injustices sociales ? C’est l’invitation que dessine le Palais de Tokyo (16e) à travers un large corpus de photographies, d’œuvres textiles, d’installations, de créations vidéo, mais aussi d’espaces interactifs. En parcourant la scénographie, on découvre des textures insoupçonnées à la joie et à la colère, ces émotions que l’on oppose à tort. Si la première peut être explosive et être brandie comme une arme politique, la seconde peut être ralliée à celles des autres, et ainsi donner corps au collectif, au sentiment d’appartenance. Dépêchez-vous : l’expo se termine le 11 mai !
Pourquoi on a adoré l’expo « Joie collective – Apprendre à flamboyer ! » au Palais de Tokyo
Palais de Tokyo - 13 Avenue du Président Wilson, Paris 16e
Du vendredi 21 février 2025 au dimanche 11 mai 2025

Une (sublime) entrée en matière
Jusqu’au 18 mai, la galerie du 19M (19e) met en lumière le savoir-faire et les compétences des métiers d’art de façon ludique et originale. Le point de départ de ce projet ? Le rideau que les meilleurs de ses artisans, sollicités lors de la rénovation du Grand Palais (8e), ont confectionné pour cloisonner les espaces. Cette fois, le rideau se lève sur les coulisses du 19M, sa galerie et les doigts de fée qui s’y activent. Parcours sur mesure, atelier de création, installations artistiques : on déambule au milieu d’un décor onirique où différentes techniques et matières dialoguent sous nos yeux.
« Ornementa » : l'atelier monumental de la Galerie du 19M
la Galerie du 19M - 2 Place Skanderbeg, Paris 19e
Du jeudi 13 mars 2025 au dimanche 18 mai 2025

L’art moderne, une autre victime du régime nazi
Comment le régime nazi a-t-il tenté d’exclure l’art moderne des espaces d’exposition et des collections allemandes entre 1933 et 1945 ? Voilà la grande question à laquelle s’intéresse le musée Picasso (Paris Centre) jusqu’à la fin du mois de mai. Victimes de la propagande d’Hitler, de nombreux artistes d’avant-garde, comme Van Gogh, Kandinsky, Chagall ou Picasso, ont ainsi été évincés du marché de l’art de l’époque, accusés de véhiculer un art « dégénéré ». C’est dans ce contexte de « purge », visant à conserver la « pureté » allemande, que l’expo « Entartete Kunst » (art dégénéré) s’est tenue à Munich en 1937. Un événement tristement célèbre pour avoir présenté plus de 700 œuvres d’art moderne, dans une mise en scène orchestrée pour provoquer le dégoût du visiteur.
L’art « dégénéré » : Le procès de l’art moderne sous le nazisme
Musée national Picasso-Paris - 5, rue de Thorigny, Paris 3e
Du mardi 18 février 2025 au dimanche 25 mai 2025

Anatomie d’un récit misogyne
Vite, on court au BAL (18e), qui accueille jusqu’au 18 mai « On Mass Hysteria », le dernier volet du travail de Laia Abril autour de l’histoire de la misogynie. Dans cet ultime chapitre, elle déconstruit la notion d’hystérie féminine, en interrogeant les différentes interprétations qui ont nourri pendant des siècles cette théorie sexiste. Évanouissements, tremblements, fous rires inextinguibles, transes… L’artiste catalane étudie ces phénomènes qui touchent principalement les (jeunes) femmes en les réhabilitant. Que ce soit par le témoignage des personnes concernées ou par l’examen des causes, souvent liées à des situations d’oppression.
Exposition « Laia Abril – On Mass Hysteria / Une histoire de la misogynie »
Le BAL - 6, impasse de la Défense, Paris 18e
Du vendredi 17 janvier 2025 au dimanche 18 mai 2025

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